TERRASSEZ

VOTRE TIMIDITÉ

Enfin un programme à télécharger avec des objectifs précis et des étapes claires chaque semaine.

Stéphane Edouard.

Vidéo 2/3


Vidéo 2/3 : Analysez votre timidité

Et vous, de quoi avez-vous le PLUS peur ?

Un de vos commentaires sera tiré au sort et

remportera un abonnement GRATUIT au programme !

Déjà 234 commentaires

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  1. C’est bien ça, me prendre un râteau. Je n’ai jamais aimé cette expression depuis le plus jeune âge à partir du moment où j’avais compris ce que ça signifiait. Pourtant, à un moment donné il faut bien dire les choses, et je pense que “se prendre un râteau” est parfaitement choisi, rien qu’à le dire je me relâche un peu, ça me fait rire ^^
    Et surtout parce qu’on je sais les conséquences de mes précédents “échecs”, au bout d’un moment on n’a plus envie de revivre ça, c’est bien normal. Un peu comme ton anecdote de la première vidéo.

  2. Bonjour,
    A la question “qu’est ce qui vous fait le plus peur”, ma première penser est: engager la discussion, quoi dire pour créer un contact.
    Dans la suite de la vidéo, tu parles du silence qui me fait totalement écho. Lors d’une discussion avec un inconnu, je n’arrive pas à jauger cette situation. C’est à ce moment que je commence trop réfléchir!

  3. J’ai surtout peur du ridicule. Ca m’empêche d’exprimer mon avis. C’est très bloquant, surtout professionnellement, je crains de ne jamais atteindre mon plein potentiel – et le salaire qui va avec 😉

  4. Toutes les conversations, en particulier si je sens la menace de devoir parler de moi, en particulier si je ne suis pas proche de la personne et encore plus en particulier si je suis impressionné ou attiré.

  5. Ma plus grande peur prend vie à l’instant T où lors d’un échange avec l’autre (rdv, reunion, appel telephonique, achat en boutique…), les scenarii que j’avais préalablement imaginé prennent une autre direction, intérieurement ça devient le chaos.
    Et au plus les années passent au plus la timidité entrave mon quotidien non professionnel , durant ma scolarité je combattais cette nature timide grâce (ou plutôt à cause) du caractère obligatoire de certaines tâches. Adulte, les excuses, les échappatoires sont devenues plus accessibles et ainsi mère Timidité (à la con) a repris ses pseudos droits dans ma vie.

  6. J’ai personnellement un groupe d’amis, eu mes deux premières relation a peut de temps d’intervalle. J’y ai mis fin moi même (mes relations amoureuses). J’ai maintenant plusieurs groupes d’amis mais j’ai toujours cette impression de timidité et de ne pas être apprécié je ne comprends pas pourquoi ! Pourtant certains de c’est amis me sont très proches au point de kes considéré comme ma famille mais même eux je n’arrive pas à ressentir leur amitié j’ai l’impression d’être seul alors que pas du tout ! Est-ce de la timidité au final ?

  7. Une bonne dose d’orgueil derrière la timidité ( réponse symptomatique à un décalage émotionnel) …en effet , le timide n’est généralement pas simple…il cache son mal être derrière des subterfuges …..il passe ses plus mauvais moments à ruminer ses sempiternels échecs relationnels …. derrière la désinvolture, la provocation, l’anti conformisme , on est sûr de débusquer les hyper émotifs ….le vrai timide n’est pas vraiment seul puisqu’il a en permanence une caméra virtuelle qui le filme……les seuls moments de répits et d’intimité qu’il s’octroie avec lui-même , c’est lorsqu’il cède à ses pulsions ……..( Confessions d’un timide….)

  8. J’ai peur du temps perdu et des opportunités gâchées par mon inaction et mon mental dépréciatif. J’ai peur de rester enfermée en moi-même encore longtemps.

  9. Une de mes plus grande peur est surement aue la personne me rejette, qu’elle me trouve bizarre et qu’à cause de cela, elle me parle sois moins, sois plus du tout.

  10. Ludovic VILLENEUVE

    J’ai peur de réussir.
    Quand je constate que mon approche se passe bien, j’en viens à penser que cela se passe trop bien et que c’est trop beau pour être vrai.

  11. Je rougis et sors des platitudes sans pouvoir développer dès que je dois parler en public. Je me sens mal avant pendant et après mes interventions obligées. Je ne parle pas si je n’y suis pas contrainte.
    En fait, je suis mieux dans ma kouisine à écouter Stéphane Édouard ou Hillard ou alors ou Solar ou d’autres.

  12. Plusieurs points soulevés : 1) la légitimité, 2) surestimer une personne qui me plaît “la sacraliser”, 3) besoin d’organisation pour mener à bien un projet et si un des rouages ne tourne pas comme prévu c’est la démotivation voir une démotivation totale pour le dit projet (en clair si quelque chose ne se passe pas comme je l’avais imaginé je me braque assez facilement, généralement), 4) sur/mal-interpréter les attitudes d’une personne et le prendre négativement voir effectivement comme un refus du dialogue (bien que le théâtre m’aide sur ce point). Mais si la timidité a été le fléau de Montesquieu c’est que je peux la surmonter aussi afin de moins manquer d’opportunités pro/perso.
    J’avais été consulter il y a deux ans un psychologue spécialisé en thérapie comportementale et cognitive qui m’avait conseillé de lire La Peur des autres de André & Légeron ; je m’étais retrouvé dans la “catégorie” Timidité et appréhension/anxiété sociale, je n’ai pas continué avec ce psy d’une part pour le prix des séances et la méfiance que j’ai envers les psy, et d’autres part je pensais au bout de deux séances avoir trouvé le problème ; certes théoriquement mais je ne suis que peu passé à la pratique qu’il m’avait recommandé.
    Je préfère aujourd’hui m’améliorer avec quelqu’un avec qui je suis sûre qu’il s’est penché sérieusement sur la question et avec un large échantillonage.

  13. “Un de vos commentaires sera tiré au sort et remportera un abonnement GRATUIT au programme !”

    Quelles sont les conditions du tirage au sort ? Où, quand, comment le tirage sera effectué et ensuite comment savoir si l’on a obtenu cet abonnement ?

  14. Ce qui me fait le plus peur c’est de voir toutes ou la plupart des opportunités professionnelles, sociales, affectives, ect… qui se présenterons à moi me passer sous le nez à cause de cette timidité.

  15. La peur d’être jugée pour ma façon de parler, de me tenir ou même ma façon d’être. Ce qui peut paraître bête car en soit quoi que l’on fasse on sera jugé et d’ailleurs nous-même jugeons autrui quotidiennement. En effet, sans jugement, on ne pourrait pas apprendre n’est-ce pas ? Mais j’y travaille, merci tonton Stéphane !

  16. Moi je ne sais surtout pas si je suis timide car je parle extrêmement vite (même avec les personnes avec lesquelles je ne suis pas timide comme ma famille, amis…) et que j’en suis limite complexé, ou si alors je parle vite car je suis timide.
    En tout cas merci pour ce contenu !

  17. Je me suis toujours considéré comme quelqu’un de pas vraiment timide. Je m’en sort plutôt bien dans ma vie tant professionnelle que sociale. Mais j’ai un problème colossal : Rien que l’idée d’aller parler à une fille (surtout une fille qui me plaît physiquement) me donne la sensation d’avoir un boulet de canon de 15kg dans le ventre, sans parler d’un afflut sanguin qui remonte au cerveau. A chaque fois que cela m’arrive, j’ai l’impression que mon cœur est sur le point de me lâcher, et là c’est fini.

  18. Ce qui me fait le plus peur est de devenir fou à la suite d’une accumulation d’expériences et de ne, justement, pas réussir à m’affermir à la suite de ses échecs (ce que je sens approcher). L’introspection des timides (via internet en plus) est pratique pour confirmer ou infirmer tes connaissances (ce que je ne fais pas pour l’instant car, j’ai passé 15 PUTAIN DE MINUTES A RÉDIGER CE MESSAGE.

  19. Pour faire court, on veut plonger dans la piscine sans avoir à se mouiller, alors on y va à reculons, ce qui suscite toutes les réactions néfastes que l’on observe, justement parce qu’au lieu de faire les choses, on s’observe en train de les faire… La solution? Se mouiller une bonne fois avant de plonger, s’interdire les demi-mesures et y aller franchement. On fait l’erreur de s’observer ? Profitons-en pour se donner un beau spectacle plutôt que celui de notre échec. On cogite trop, on envisage toutes les possibilités d’échec ? Envisageons les possibilités de réussite. Par exemple dans un karaoké, au lieu de bredouiller recroquevillé derrière le micro, à attendre les réactions des autres avant même d’avoir chanté, assumons d’être là pour faire le spectacle. Même si l’on est ridicule au final, au moins on aura tout donner au lieu de rester sur la réserve. Car si l’on doit échouer qu’au moins ce soit après s’être donné à fond. Pour le dire autrement, être fort c’est aussi assumer la faiblesse de sa force en restant debout et en faisant face, pas en se recroquevillant dans un coin.

    signé un timide grande gueule théorique mais encore bloqué en pratique.

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